Bonjour ! C’est un grand débat dans la communauté des auteurs.
On voit passer cette question régulièrement sur les réseaux sociaux
On lit des commentaires divers et variés… plus ou moins fondés.
Est-il possible de vivre de ses romans ?
Il n’y a pas une seule réponse à cette question
Il y a des cas différents, des objectifs différents, des avis ou des perceptions différentes…
Il y a les auteurs auto-édités, édités ou hybrides
Il y a les auteurs qui se battent pour rendre ça possible
D’autres qui s’en foutent, qui publient pour le plaisir
Il y a les auteurs qui ont réalisé ce rêve avec passion, sincérité et honnêteté…
Le pire, c’est les aigris, ceux qui n’ont pas vraiment essayé et qui jalousent…
Ces auteurs pessimistes et négatifs qui traitent de fabulateurs ceux qui s’en sortent, qui les rabaissent au rang des marketeux sans coeur.
Qui ne mettent aucune nuance, ne comprennent pas les différents cas, les différentes volontés.
Je déteste ces derniers. J’en croise encore bien trop souvent sur ma route.
Encore ce mois-ci je me suis fait harceler par l’un de ces personnages haineux…
Alors, ça m’a encouragée à faire un bilan sur ces 10 derniers mois
Pour remettre en perspective les possibilités qui s’offrent aux auteurs aujourd’hui,
Pour dire que c’est un choix personnel et, qu’en effet, pas forcément accessible à tout le monde.
Et surtout pour rappeler qu’il y a bien plus derrière mon blog «Vivre de ses romans»
Ce n’est pas pour rien que j’ai changé le logo et le slogan du blog ce mois-ci :
«S’épanouir en auto-édition & vivre de sa passion».
Je vous confie aujourd’hui en toute transparence mes chiffres sur ces 10 derniers mois.
Un tout nouvel article que vous pouvez découvrir ici :
Lire : L’année 2019 en chiffres
En espérant que cela ouvrira de nouveaux horizons 🙂
Sincèrement,
Anaïs