J’ai eu un sursaut en début de semaine et j’ai pensé « Oh mince, ça fait un baille que je n’ai pas envoyé d’email sur l’auto-édition », puis j’ai vérifié et le dernier date du 29 juin… Ce n’était pas si terrible, mais que le temps passe vite !
Je suis à fond dans les préparatifs pour la sortie de mon 7e roman et j’ai aujourd’hui demandé l’impression des BAT (bon à tirer). Je peux enfin prendre une pause pour t’envoyer un message.
Je n’ai pas très envie de parler de la stratégie de la sortie, car j’ai besoin de parler d’autre chose et je n’ai pas du tout assez de recul pour t’en dire plus.
Par contre… hier j’ai écouté un podcast de Joanna Penn qui datait de 2014 ! Ça m’a fait un choc.
En effet, je me suis lancée dans l’auto-édition en 2015. Je n’avais jamais entendu parler d’auto-édition avant cette année-là, encore moins d’Amazon (je n’ai pas publié l’ebook de mon premier roman, car je n’étais pas au courant 😅), de KOBO ou encore de livres audio… Je n’écoutais pas non plus de podcast (je commençais tout juste à découvrir le blogging).
Tout ça était pourtant dans ce vieux podcast de Joanna Penn !
Alors, ça m’a fait tout drôle : il y a vraiment un tas de choses que je ne savais pas à l’époque et qui pourtant étaient à ma portée, déjà testées et approuvées par des auteurs indépendants en France et aussi à l’étranger.
Ça m’a rappelé qu’il est toujours nécessaire de s’informer, d’observer… pour ne pas passer à côté d’une opportunité de se développer, d’apprendre, d’enrichir sa stratégie.
Je ne le fais pas assez souvent, car cela me plonge dans des spirales d’idées et de « il faut tester, il faut faire » qui finissent par m’angoisser…
Pourtant si j’observais simplement et laissais germer les graines plantées, sans aucune pression, mon esprit resterait toujours ouvert et à l’affût.
Comment tu fais, toi ?
Tu te renseignes bien sur l’auto-édition puisque tu suis mon blog : est-ce que tu en suis d’autres ? Où cherches-tu les informations qui challengent ton état d’esprit, ta stratégie ?
J’espère que tout va bien de ton côté en auto-édition et que tu t’y épanouis toujours,
Anaïs